Tax-shift = Taxes tout court !

 

 

Chers Amis,

Ces dernières semaines, la question du pouvoir d’achat est au centre des préoccupations.

Les citoyens, les syndicats et le PS plaident pour une augmentation du pouvoir d’achat.
Le gouvernement fédéral de Charles Michel répond que son tax-shift rencontre ces demandes.

Il oublie de signaler que, pour financer son tax-shift, le gouvernement MR N-VA a augmenté la TVA sur l’électricité (la faisant passer de 6 à 21%) et les accises sur le diesel. Il oublie aussi de dire qu’il a réduit le remboursement de certains médicaments, augmentant dès lors leur prix pour les citoyens. Il oublie de mentionner qu’il a procédé à un saut d’index, ce qui réduit les revenus des travailleurs de 400 euros en moyenne par an.

A vrai dire, l’impact réel du tax shift adopté par le gouvernement fédéral MR N-VA se traduit par une perte sèche de pouvoir d’achat pour les citoyens les plus vulnérables.

L’impact brut cumulé des mesures du tax-shift, du saut d’index et des économies en soins de santé correspond, en 2018, à une perte de 556 euros pour un demandeur d’emploi (isolé aux minima) et de 638 euros pour un pensionné (isolé aux minima).

L’analyse fournie par l’université catholique de Louvain (la KU Leuven) dans son enquête sur les effets du tax-shift, conduit à la conclusion d’un impact négatif pour les 10% des ménages les plus pauvres de la population ; cet impact négatif s’élève à 45 euros par mois, soit 540 euros par an.

Jeunes et moins jeunes,… soyons plus forts

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Denis

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